14 / Kaguya Hime non monogatari

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N°14. Kaguya Hime non monogatari (L’Histoire de la Princesse Kaguya)

Sortie indéterminée. Un film de Isao Takahata avec Aki Asakura, Yukiji Asaoka, Takeo Chii…

Il était déjà dans notre top attentes 2013, et effectivement, il est sorti… Mais uniquement au Japon.

C’était il faut le préciser une année assez exceptionnelle pour le studio Ghibli, qui distribuait deux nouveaux longs-métrages des deux créateurs du studio (LE VENT SE LÈVE et donc ce KAGUYA HIME NON MONOGATARI). Vous imaginez bien que le Miyazaki s’est taillé la part du lion tandis que le Takahata a eu droit aux restes. A l’international Disney a donc privilégié la sortie du premier, tandis qu’on attend toujours une date de sortie pour le second, ce qui logiquement ne devrait plus tarder.

Pour rappel, KAGUYA HIME NON MONOGATARI (que l’on traduit en français par L’HISTOIRE DE LA PRINCESSE KAGUYA même si aucun titre n’a été officialisé pour le moment) est tiré d’un conte traditionnel japonais. Née dans un bambou, une princesse du nom de Kaguya est adoptée par un couple de paysans et va subir un tragique destin.

Le style visuel de ce film qui a été un échec retentissant au box-office japonais (surtout après le passage du VENT SE LÈVE, qui a pourtant beaucoup divisé là-bas) est entièrement inspiré des estampes traditionnelles et puisqu’on en a déjà un peu parlé l’an dernier, profitons-en cette année pour faire le point sur les premières critiques anglaises du film, en attendant une sortie dans l’Hexagone.

« Pour les adultes et pour ceux qui aiment les contes classiques et la culture japonaise (…), KAGUYA-HIME NON MONOGATARI ne sera pas une déception. C’est magnifique, émouvant, et cela vous hante indéniablement. Chaleureusement recommandé » Rocket News

« Je pense qu’il est évident que Takahata a entre les mains un chef-d’oeuvre esthétique avec KAGUYA HIME NON MONOGATARI, mais sa dévotion au matérau d’origine et sa réticence à pleinement adapter THE TALE OF THE BAMBOO CUTTER pour le medium cinématographique impacte la narration. Même s’il y a plein de choses qui sont en son honneur, je ne peux pas m’empêcher d’être déçu. » DK421

« Il y a une profonde sagesse dans ce film, mais une profonde tristesse aussi. Si c’est l’adieu de Takahata au cinéma, c’est un adieu qui aura un long échos  tout comme la source millénaire qui l’a inspiré. » The Japan Times

Des premiers avis divisés, mais globalement positifs. De ce qu’on en a vu, on veut croire que le film est génial. Réponse dans l’année… Mais quand ? Mystère !

A Propos de l'Auteur

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Depuis son plus jeune âge, FreedentWhite développe une passion sans bornes pour le Septième Art. Par dessus tout, il aime Powell, Pressburger, Argento, Malick, Burton et Jodorowsky. Si certains croient qu'il a une dent contre Luc Besson – tout particulièrement lui –, il dévore pourtant tous les types de cinéma ; qu'ils soient d'auteur ou de divertissement (ou les deux). Avant tout, il aime les bons films.


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