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- Festival International du Film de Merde – A vous de jouer !
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- Chronique festivalière, jour 5 – Le Jour et la Nuit
- Chronique festivalière, jour 6 – Fast and Furious 6
- Festival du film de Merde 2014
- Deuxième Festival International du Film de Merde – La Cérémonie de Clôture !
- Cérémonie d’ouverture du festival du film de merde 2014
- Soirée spéciale A Chaud Pokémon
- Qu’est ce qu’un film de merde?
- Cérémonie de Cloture festival du film de merde 2014
Compétition Officielle
A Good Day to Die Hard / Un film de John Moore avec Bruce Willis, Jay Courtney, Sebastian Koch… Durée : 1h38. Sorti en 2013.
Il est normalement impossible de rater un film de A à Z. Normalement. Mais John Moore semble bien motivé à nous prouver le contraire. Nous prouver que OUI, on peut prendre le public pour un gros gland et se faire applaudir (3.6 est une note bien trop élevée pour cette merde).
Par où commencer ?
– Par cette réalisation de merde. On peut s’amuser à compter les plans fixes, si vous voulez. Un… Deux…Tr… ah non. Bon bah deux. Tout le reste du film, ce sont des CAMERAS QUI TREMBLENT ! Illisible, laid, c’est d’un lamentable exacerbé ! Toute la stupidité des blockbusters lamentables, multiplié par mille.
– Par notre « héros », John Mc Clane. Je dis « héros » avec de grosses guillemets. Je devrais plutôt écrire « » » » »héros » » » » » ». Un mec qui débarque en Russie, envoyé par ses copains à New York, et qui passe ensuite son temps à tuer des civils et à se plaindre qu’il est en vacances, en posant partout son gros regard bovin de crétin fraichement débarqué du New Jersey. Ce mec ne pane RIEN à RIEN, un vrai boulet de service, et qui, PUTAIN, à besoin qu’on lui EXPLIQUE CE QU’EST TCHERNOBYL !
– Par des dialogues complètement… euh… Mais merde ! Merde de merde ! J’ai jamais rien entendu d’aussi MOU, d’aussi NUL, d’aussi APOCALYPTIC FACEPALM ! C’est hallucinant de faire baisser les yeux au spectateur A CHAQUE PUTAIN DE RÉPLIQUE !
– Par la bêtise OMNIPRÉSENT de TOUT le cast de ce putain de film ! Des films d’action décomplexés, j’en connais, et même, j’en aime ! Fast Five et HyperTension 2 sont des films d’action décomplexés. Ce film est un film d’action BOVIN, DÉBILE, CRÉTIN, CONNAAAARD ! « Allô, je me balade dans Tchernobyl sans combi alors que TOUT LE MONDE à une combi ! » « Allô, je fais des blagues sur mon vis qui va peut-être mourir, du coup, hahaha ! » CONNARD !
– Par cette intrigue absolument pitoyable, que même un rouleau de PQ aurait repoussé du pied. Tous les poncifs du genre sont usés jusqu’à la moelle. « EN FÊTE CÉTÉ MOUA LÉ MECHANT DEBUIS LÉ DÉBOU ! » (à prononcer avec un fort accent russe)
– Par le film dans sa totalité. On peut faire du crétin jouissif (je citerais encore Hypertension 2). Moore fait du crétin crétin. Il prend le spectateur pour un con du début à la fin (« Et vas-y que je tire dans le tas en plein milieu d’une RÉSERVE D’URANIUM ! »), lui faisant parfois des superbes doigts d’honneur (Jack, face caméra, après une question de son père « Sérieux, tout le monde s’en branle »), poussant le vice jusqu’à chier sur Die Hard premier du nom (avec le plan ou le méchant tombe du haut de l’immeuble. Morre nous fait « Vous aimez le premier Die Hard ? Hé bien, chers amis, je vous sodomise sans vaseline ! »).
Morre éjacule sa chiasse dans la gorge du spectateur débile mental, qui hurle et qui en redemande.
BORDEL ! CE FILM EST UNE SOMBRE MERDE SANS NOM !
Même Patrick Poivey (la voix française de Bruce WIllis) ne s’y est pas trompé, et, sans aucune motivation, à doublé ça comme un gros porc (ce film est donc le premier Willis/Poivey avec une mauvaise VF. CE FILM BAT TOUS LES RECORDS !)
Et je vais conclure avec ce cri du coeur, que j’ai gardé pour la fin pour qu’on ne me taxe pas de mauvaise foi : MAIS BORDEL DE BORDEL DE BORDEL, QUEL EST LE RAPPORT ENTRE TOUT CE FILM ET DIE HARD ?
LE PETIT PLUS DU « FILM DE MERDE » (PAR FREEDENTWHITE) :
Alors ça n’a rien à voir avec un Petit Plus du Film de Merde, cette fois-ci, mais je tiens à souligner qu’avec des articles aussi vulgaires, Misterfox, tu ne vas pas plaire à tout le monde sur Bamboin ! Mais tu plairas peut-être toujours plus que ce film qui nous chie à la gueule du début à la fin, je dois l’admettre.